Feuillet du 28 octobre 2018

Dimanche  – 28 octobre 2018 année (B). 30e dimanche du temps ordinaire

LAMPE DU SANCTUAIRE  du 28 octobre : un ami de la paroisse

INTENTIONS DE PRIÈRE

 NOS DÉFUNTS

 

Dimanche 28 octobre :

9 h : Feu Marcelle Charrois – Carole Charrois

 

Mercredi 31 octobre :

8 h 30 : Feu Jean-Hubert Talbot –parents et amis

 

Dimanche 4 novembre

9 h : Feu Olivette Bouffard Sabourin – André Sabourin

 

ÉVÈNEMENTS  À CÉLÉBRER

 

1- Dimanche 28 octobre à 11 h baptême de Béatrice Bergeron, née le 6 janvier 2018, fille de Stéphane Bergeron et de Mireille Mongeau.  L’équipe pastorale de baptême présente ses souhaits de bienvenue sympathique à Béatrice dans notre communauté chrétienne.

 

2- Brunch des Chevaliers de Colomb le dimanche 4 novembre 2018 de 9 h à 11 h, au centre multifonctionnel.

 

3- Dimanche 4 novembre : Eucharistie d’action de grâce pour tous nos défunts.

L’église célèbre une eucharistie d’action de grâce le 2 novembre de chaque année, en mémoire de tous les défunts.  Dans notre paroisse cette eucharistie aura lieu cette année exceptionnellement le dimanche 4 novembre 2018, par nécessité pastorale.  Le conseil paroissial de pastoral invite donc les familles endeuillées de notre paroisse à faire inscrire les noms de leurs membres de parenté décédés auparavant et particulièrement au cours de l’année 2017 et 2018, accompagnés au besoin de leurs photos et des numéros de téléphone des personnes requérantes, auprès du secrétariat de la paroisse, du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 15 h à 19 h.  819-562-6468.

 

4- Ateliers de conférences pour les personnes endeuillées.

Des ateliers conférences, animées par Louise Bergeron du diocèse de Sherbrooke, sur le thème « Noël sans toi ».  La souffrance du vide, de l’absence se fait sentir plus fortement dans ce temps de réjouissance et de rassemblements.

Pour information et réservation :

courriel : [email protected]

Louise Bergeron 819-563-9934 poste 414

 

5- Appelés à la solidarité  chrétienne avec nos missions  Autochtones.

Comme Église archidiocésaine, nous sommes appelés à la solidarité chrétienne avec nos missions autochtones des diocèses du Nord. Nous vous convions donc à un souper-bénéfice au profit de Mission chez nous, jeudi 15 novembre 2018, à 17 h, chez les Missionnaires de Mariannhill, 2075, chemin de Sainte-Catherine, Sherbrooke. Information et achat de billets :

Danielle Lachance, 819 563-9934, poste 401 ou

[email protected]

 

6- Merci beaucoup pour votre généreuse contribution lors de la collecte du Dimanche missionnaire mondial de la semaine dernière.  Ce soutien représente une bénédiction pour les évêques, les prêtres, les religieux, les religieuses et les catéchètes laïques qui dépendent de l’œuvre pontificale de la propagation de la foi.  Nous vous invitons, à continuer de prier pour ceux qui servent dans les pays de mission afin qu’ils puissent demeurer inébranlables dans leur vocation d’apporter le message d’amour du Christ à ceux qu’ils servent.

 

PAROLES DE DIEU DE CE DIMANCHE

 

1ère lect.: Jérémie, 31, 7-9

« Voici que je les rassemble des confins de la terre, parmi eux, tous ensemble, l’aveugle et le boiteux, la femme enceinte et la jeune accouchée : c’est une grande assemblée qui revient. »

 

Psaume  : 125 (126).

« Quelles merveilles le Seigneur fit pour nous!  Nous étions en grande fête! »

 

2e  lect.: Hébreux 5, 1-6

« Tout grand prêtre est pris parmi les hommes; il est établi pour intervenir en faveur des hommes dans leurs relations avec Dieu, il doit offrir des dons et des sacrifices pour les péchés.  Il est capable de compréhension, car il est lui aussi, rempli de faiblesse. »

 

Évangile : Marc 10, 46-52

« Appelez-le. » 9l’aveugle). – « Que veux-tu que je fasse pour toi? »  L’aveugle lui dit : « Maître que je retrouve la vue! »  Et Jésus lui dit : « Va, ta foi t’a sauvé. »

  

Va, ta foi t’a fait disciple.

Le récit de la guérison de l’aveugle Bartimée est l’un des plus animés de l’évangile. Qu’il suffise de se fermer les yeux et on verrait ce récit se transformer en petit film d’animation.

L’évangéliste a retenu ce récit de guérison comme un exemple de démarche qui conduit quelqu’un à devenir disciple de Jésus. Au départ, il y a ce désir de rencontrer Jésus, qui s’exprime par des cris de supplication : Fils de David, aie pitié de moi, autrement dit : « Agis en ma faveur avec miséricorde ». Des gens dans la foule ont beau l’enjoindre de se taire, il crie de plus belle au point que Jésus, entendant ses cris, enjoint la foule de lui ouvrir cette fois un passage jusqu’à lui.

Vient ensuite le dialogue de la rencontre. Jésus demande à Bartimée de nommer le besoin qui l’a poussé vers Lui : Que veux-tu que je fasse pour toi?  – Rabbouni, que je voie.  Enfin, la réponse de Jésus exprime un regard qui scrute l’intime de Bartimée, un regard « qui sonde les reins et les cœurs » comme on dit en langage biblique. Ce regard met en lumière la foi intense qui habite l’aveugle et qui l’a guidé envers et contre tout vers Jésus : « Va, ta foi t’a sauvé. » Le recouvrement de la vue et la reconnaissance de la foi de l’aveugle laissent entendre que le salut dépasse la simple guérison physique. C’est par sa foi que l’aveugle guéri accueille le salut; et son accueil du salut va se manifester par sa décision de suivre Jésus comme disciple.

Quelques indices nous permettent de voir que l’aveugle est devenu un disciple de Jésus, et même qu’il était un disciple en devenir. Le récit se termine par une définition du disciple : Il suivait Jésus sur la route. C’est l’invitation que Jésus avait lancée aux apôtres ou à d’autres personnes : Venez et marchez à ma suite, Viens et suis-moi. Quand l’aveugle exprime sa demande à Jésus, il lui donne le titre de Rabbouni, qui se traduit « Mon maître ». Enfin, signe de détachement, l’aveugle laisse tomber son manteau. Or, le manteau est tout ce qu’un pauvre possède pour se couvrir; d’après le précepte de la Loi, on doit le lui rendre le soir, si on l’a pris en gage. Ce détachement n’est pas sans évoquer tout ce que certains n’ont pu abandonner pour suivre Jésus, ou la pierre que Jésus n’avait pas pour reposer sa tête.

Comme autrefois pour Bartimée, puisse le Seigneur ouvrir mes yeux pour que je découvre combien il est précieux pour moi, et que je voie le chemin où il m’invite à le suivre.

Yves Guillemette, ptre

 

Pensée de la journée :

Ouvre mes yeux, Seigneur : que je perçoive la lumière

au bout de mes doutes et de mes inquiétudes.

 

Pensée de la semaine :

Ouvre mes yeux, Seigneur : que je garde vive mon espérance

lorsque les épreuves ébranlent ma foi.

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