Feuillet du 4 novembre 2018

Feuillet paroissial du 4 novembre 2018.

Dimanche 4 novembre :Trente-et-unième dimanche du temps ordinaire.

LAMPE DU SANCTUAIRE  du 4 novembre : un ami de la paroisse..

INTENTIONS DE PRIÈRE.

 NOS DÉFUNTS.

Dimanche 4 novembre.

Commémoration de tous les défunts de la paroisse.

9 h : Feu Olivette Bouffard Sabourin – André Sabourin.

 Mercredi 7 novembre :

8 h 30 : Feu Léo Demers –ses filles.

Dimanche 11 novembre :

9 h : Feu Patrick Desruisseaux – Lise Robert.

 

ÉVÈNEMENTS  À CÉLÉBRER.

1- Brunch des Chevaliers de Colomb le dimanche 4 novembre 2018 de 9 h à 11 h, au centre multifonctionnel.

2- Appelés à la solidarité  chrétienne avec nos missions  Autochtones.

Comme Église archidiocésaine, nous sommes appelés à la solidarité chrétienne avec nos missions autochtones des diocèses du Nord. Nous vous convions donc à un souper-bénéfice au profit de Mission chez nous, jeudi 15 novembre 2018, à 17 h, chez les Missionnaires de Mariannhill, 2075, chemin de Sainte-Catherine, Sherbrooke. Information et achat de billets :

Danielle Lachance, 819 563-9934, poste 401 ou [email protected]

 

3- Pour les personnes endeuillées.

Des ateliers conférences, animées par Louise Bergeron du diocèse de Sherbrooke, sur le thème « Noël sans toi ».  La souffrance du vide, de l’absence se fait sentir plus fortement dans ce temps de réjouissance et de rassemblements.

Pour information et réservation :

courriel : [email protected]

Louise Bergeron 819-563-9934 poste 414.

 

Les Amis de Saint-Benoît.

4-Les Amis de Saint-Benoît-du-Lac de l’Estrie vous invitent à son déjeuner-causerie, au restaurant l’Omnibouffe au 660, rue Bowen Sud, le lundi 12 novembre 2018 à 9 heures.

Thème : La parabole du levain dans la pâte

Personne invitée : M. François McCauley, oblat et responsable de la région de l’Estrie pour les Amis de Saint-Benoît.

Informations : 819 823-6981

 

PAROLES DE DIEU DE CE DIMANCHE.

1ère lect.: Deutéronome (6, 2-6).

« Israël, tu écouteras, tu veilleras à mettre en pratique ce qui t’apportera bonheur et fécondité, dans un pays ruisselant de lait et de miel, comme te l’a dit le Seigneur, le Dieu de tes pères. »

Psaume  : 17 (18).

« Je t’aime, Seigneur, ma force. »

2e  lect.: Hébreux (7, 23-28).

« Jésus possède un sacerdoce qui ne passe pas, c’est pourquoi il est capable de sauver d’une manière définitive ceux qui par lui s’avancent vers Dieu, car il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur. »

 

Évangile : Marc (12, 28-34).

« Voici le premier de tous les commandements : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur.  Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force.  Et voici le second : tu aimeras ton prochain comme toi-même.  Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »

  

 Tu n’en es pas loin…

     Tout le monde en parle : le très populaire prophète, Jésus de Nazareth, vient d’arriver à Jérusalem, la capitale religieuse du peuple juif. Son premier geste est un coup d’éclat : il se rend au temple et en chasse les vendeurs d’animaux destinés aux offrandes des fidèles. Du coup, Jésus s’attaque au fonctionnement même du culte offert dans le temple. Il s’attaque aussi à ceux qui le soutiennent et en profitent, c’est-à-dire les autorités religieuses, prêtres et scribes. Pas étonnant que ceux-ci tentent par tous les moyens de le piéger dans son enseignement et même, cherchent comment le faire périr (Mc 11,18).

Un  jour, alors qu’il est dans le temple, Jésus est harcelé de questions sur des sujets délicats. Peine perdue : il déjoue les pièges tendus par ses adversaires par des réponses profondes visant à ramener ses auditeurs vers l’essentiel de la foi. Sa performance impressionne même un de ces scribes, un homme de bonne foi, qui cherche sincèrement à aimer Dieu de tout son cœur. Il s’approche donc de Jésus et pose une question fortement débattue dans les milieux théologiques de ce temps : Quel est le premier de tous les commandements? La question était très pertinente : à cette époque, les Juifs devaient observer 613 commandements! Comment démêler tout ça? Où retrouver l’essentiel?

Jésus répond en allant puiser dans le trésor spirituel d’Israël, la Bible. Il met côte à côte deux commandements axés sur l’amour. Le premier, tiré du Deutéronome, appelle à aimer Dieu de tout son être (Dt 6,5). Le second, tiré du Lévitique, commande d’aimer son prochain comme soi-même (Lv 19,18). Et Jésus conclut : Il n’y a pas un autre commandement plus grand que ceux-là. Remarquez le singulier : « Il n’y a pas UN autre commandement »… Jésus souligne ainsi que ces deux commandements finalement n’en font qu’un : c’est celui d’aimer.

Le scribe qui avait posé la question reprend la réponse de Jésus en exprimant son accord entier. Et même il va plus loin en disant : Aimer Dieu et son prochain vaut mieux que tous les holocaustes et sacrifices. Il fallait un certain culot pour faire une telle affirmation en plein temple, là où on faisait sacrifices, prières, offrandes, à longueur de jour. Mais Jésus perçoit combien son interlocuteur est habité par un désir sincère d’accomplir la volonté de Dieu. Tu n’es pas loin du Royaume de Dieu, lui dit-il. Ce qui revenait à dire : « Tu es proche de la pleine communion avec moi, en qui le règne de Dieu arrive. »

Nos lois humaines interdisent des gestes, mais non des émotions. Elles interdisent par exemple de voler ou de tuer. Mais aucun article du Code civil ne m’interdit de détester ma voisine ou de mépriser mon patron, ou d’ignorer ma sœur ou mon frère qui aurait besoin de moi. Normal : l’amour est toujours au-delà des lois.

Georges Madore

 

Pensée de la journée :

« Aime et fais ce que tu veux ».

Saint Augustin

 

Intention de prière du mois :

Prions pour que le langage du cœur et le dialogue priment toujours sur le langage des armes.

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