Feuillet du 15 janvier 2017

LAMPE DU SANCTUAIRE DU 15 janvier : Gaby Breton

OFFICES DE LA SEMAINE

Dimanche 15 janvier : 2e dimanche du temps ordinaire

9 h : Feu parents Bilodeau et Huppé – Irénée et Nicole

LA CÉLÉBRATION DU JEUDI REPRENDRA  À UNE DATE ULTÉRIEURE

Dimanche 22 janvier : 3e dimanche du temps ordinaire

9 h : Feu Henri Leroux – Paul-Émile Deblois

 

Frères et sœurs bien-aimés,

Le temps liturgique de Noël s’est terminé lundi dernier 9 janvier par la fête du Baptême du Seigneur. Je veux remercier tous les bénévoles qui ont décoré nos églises, installé les crèches et aussi les chants et les célébrations de ce temps de Noël. Je veux également vous remercier pour tous vos vœux, cadeaux et offrandes que vous m’avez si gentiment remis. Enfin je vous remercie pour les généreuses offrandes de la quête de Noël que j’ai pu partager avec mes principaux collaborateurs au ministère pastoral. Cette tradition prend fin cette année et sera remplacée pour une légère augmentation de salaire. Bonne et Heureuse Année, Joie et Paix.

Votre pasteur, Denis Cournoyer, ptre

 

PROGRAMME DE FORMATION DE BASE

En route vers une reconnaissance diocésaine

Vous êtes invité(e) à cette activité de formation qui s’adresse à toute personne désireuse de parfaire ses connaissances de base sur le mystère et l’histoire de l’Église.

Titre du cours : Découvrir et vivre l’Église — Éléments historiques

Personne-ressource : Mgr André Gaumond présentera les grands moments historiques de l’Église et en dégagera les éléments significatifs pouvant nous éclairer sur les communautés chrétiennes d’hier à aujourd’hui.

Date et heures : Mardi 7 février 2017, de 9 h 30 à 15 h 30

Lieu : Missionnaires de Mariannhill

2075, chemin de Sainte-Catherine, Sherbrooke

Coût : 25 $ (repas inclus)

Inscription : avant le 3 février2017

Sylvie Dubuc, 819 563-9934,poste 408        [email protected]

 

Partage biblique

 Le Centre Missionnaire Mariannhill propose une série de partages bibliques, les lundis de chaque semaine, de 19 à 20 heures, animés par le P. Guy Cloutier, c.m.m., missionnaire en Papouasie, en Afrique du Sud et au Nicaragua pendant 45 ans. Premier partage, le lundi 31 octobre 2016. Bienvenue à tous et à toutes. Information : 819 562-4676

  

Une invitation concernant l’exposition de villages et de crèches de Noël  qui se tient au Sanctuaire de Beauvoir du

11 décembre au 15 janvier 2017.

Père Michel Bouffard , s.m, recteur du Sanctuaire de Beauvoir

 

CÉLÉBRATION DE PRIÈRE POUR L’UNITÉ CHRÉTIENNE

Dimanche 22 janvier 2017, à 14 h

Paroisse Saint-Roch, 2700, chemin Saint-Roch Sud, Sherbrooke

Nous réconcilier. L’amour du Christ nous y presse, 2 Co 5, 14-20

Selon le déroulement préparé par des Églises chrétiennes de l’Allemagne

Coprésidée par :

Mgr Luc Cyr, archevêque de Sherbrooke

Abbé Mario Boivin, curé de la paroisse

Pasteure Heather Thomson, aumônière du campus de Bishop’s

 

Un goûter fraternel aura lieu après la célébration.

Activité organisée par la paroisse Saint-Roch et le Comité de liaison œcuménique de Sherbrooke.

 

Agneau de Dieu?

Quand Jean Baptiste baptise Jésus, il comprend que ce dernier n’est pas un fidèle comme les autres. Il lui donne alors un titre étrange et surprenant pour nous : « Voici l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde » (Jn 1,29). L’expression est restée célèbre et nous est familière puisque nous la chantons au gloria (Gloire à Dieu) de la messe et nous la redisons juste avant de recevoir la communion. Le chant latin de l’Agnus Dei demeure l’un des plus beaux du répertoire.

Mais comment peut-on en être venu à affubler le messager de Dieu du titre d’agneau? De lion passe encore, ou d’aigle, de tigre. Ce sont là des animaux nobles et forts. Mais l’agneau est un animal fragile, craintif, plutôt humble, grégaire, apparemment pas très intelligent. Et dans mes souvenirs d’enfance, pas très bon à manger. « Ça goûte la laine », disait-on.

Pour comprendre le titre d’agneau de Dieu, il faut comprendre un peu la tradition du peuple d’Israël. À l’origine, les Juifs sont des pasteurs de petits troupeaux de chèvres et de moutons. L’agneau est à la base de leur économie. Il fournit le lait, le vêtement ( la laine ) et la viande, et sa viande est excellente quand on a les bonnes recettes. C’est un animal doux, on dirait sans malice. C’est un animal qu’on offre à Dieu dans les rituels de sacrifice, la victime innocente qui apporte la purification. Aussi dans la culture juive, l’agneau s’est chargé d’une signification mystique extraordinaire, celle du serviteur de Dieu. Nous attendons Dieu du côté du prestige, de la force, de la vengeance. Erreur, Dieu est amour. Il vient vers nous du côté de la douceur, de la miséricorde, du renoncement à la force. Le serviteur, Jésus, donne sa vie comme un agneau.

L’Agneau de Dieu ( les Haïtiens disent bellement : Mouton, Bon Dieu ) se dresse devant nous comme une question jamais résolue : Mais pourquoi donc Dieu nous aime-t-il autant?

André Beauchamp

 

Pensée de la journée :

Dieu n’est pas un homme à tout faire.

Yves Duteil

Pensée de la semaine :

L’avenir est à la biodivers’idées.

Yves Duteil