Feuillet du 11 septembre 2016

LAMPE DU SANCTUAIRE DU 11 septembre : Gaby Breton

OFFICES DE LA SEMAINE

Dimanche 11 septembre : 24e dimanche du temps ordinaire
9 h : Feu Léon Desrochers et Albina Demers – Manon
Feu Luc et Richard Routhier – Marie Paule Routhier

14 h : Baptême de Rosalie Chagnon née le 20 février 2016, fille de
Tommy Chagnon et Joanie Lavoie-St-Gelais

Jeudi 15 septembre : Notre-Dame Des Douleurs
8 h : Feu Hélène Riendeau – parents et amis

Samedi 17 septembre :
14 h : Mariage entre Sébastien Comeau et Guylaine Tony

Dimanche 18 septembre : 25e dimanche du temps ordinaire
9 h : Feu Louisette Duchesne – son époux et les enfants

Dîner paroissial de Cookshire au profit de l’église St-Camille
11 septembre 2016 de 10 h 30 à 13 h à la salle Guy Veilleux
Rue Castonguay.
Coût en pré-vente 13 $ enfants 5 $, à la porte 14 $ enfants 6 $.

Information et inscription à la catéchèse paroissiale
Mardi 13 septembre 2016 à 19 h, à l’église paroissiale
Coût de l’inscription 40 $ par enfant.

Tous les enfants de 8 ans et plus baptisés ou non peuvent être inscrits à la catéchèse en vue de suivre le parcours « Route de paroles » et vivre leur premier pardon, première communion ou confirmation.

Nouveauté : Nous offrons aussi aux enfants non baptisés qui s’inscriront à la catéchèse, la possibilité de vivre le baptême lors du parcours, s’ils le désirent.

Le certificat de baptême est obligatoire pour les enfants qui n’ont pas été baptisés dans la paroisse Saint-Stanislas d’Ascot Corner et dont ce sera la première année de catéchèse

Prendre note que pour les jeunes dont c’est la 2e ou 3e année de catéchèse ainsi que pour ceux qui veulent être confirmés l’inscription est obligatoire.

Pour plus informations vous pouvez contacter :
Ghislaine Bouffard : 819-346-6419
Linda Côté / Nicolas Poulin : 819-348-0764
Pierrette H. Boucher : 819-566-1947
Véronique Rioux : 873-200-9043
Jubilé des personnes malades – 11 septembre 2016

Dans le cadre de l’Année de la miséricorde, afin de faire rayonner la bienveillance du Père à l’égard de ses filles et de ses fils éprouvés par la maladie ou le vieillissement, nous vivrons un Jubilé des personnes malades le dimanche 11 septembre prochain à la Basilique-cathédrale Saint-Michel de Sherbrooke.

L’horaire sera le suivant :
13 h à 14 h Accueil des pèlerins malades et parcours spirituel

14 h à 15 h Célébration communautaire du sacrement des malades présidée par Mgr l’archevêque

15 h à 16 h Temps libre pour le passage de la Porte du jubilé, le parcours spirituel, la collation et le départ

L’onction des malades qui sera célébrée dans le cadre du Jubilé de la miséricorde veut réconforter celles et ceux qui sont éprouvés par la vie. En faisant une onction d’huile bénite sur le front de la personne et en lui imposant les mains, le prêtre manifeste l’amour et la tendresse du Seigneur pour ses frères et ses sœurs malades, affaiblis par le grand âge ou en situation d’handicap. Ému de compassion, le Christ se fait tout proche, il donne sa force pour supporter l’épreuve et ouvre un chemin d’espérance vers la vie en abondance.

Si vous voulez vivre ce sacrement vous-même ou permettre à un être cher d’y prendre part, veuillez vous rendre sur place le jour même. Il est possible de s’inscrire à l’avance.
Informations et inscriptions :
819 563-9934, poste 209
www.diocesedesherbrooke.org

Dimanche 11 septembre 2016
Pèlerinage au cimetière Saint-Michel
Horaire : Accueil à 13 h
Mot de bienvenue : 13 h 30
Célébration à la Chapelle du cimetière : 13 h 40
Visites personnelles : 14 h 15

Besoin de miséricorde !

Jésus raconte trois belles histoires. Un berger met en danger son troupeau pour retrouver une brebis égarée. Une femme déterminée a le sens des priorités quand elle égare une partie de son patrimoine. Et un chef de clan fait passer la miséricorde avant sa belle image. Tout cela met en évidence la miséricorde de Dieu célébrée en cette Année jubilaire exceptionnelle. Notre pape François nous invite à renouer avec notre Dieu qui cherche, qui trouve, ou qui attend et qui accueille. Dans les trois paraboles, le retour à la normale est possible parce que quelqu’un dépasse le normal et le suffisant. Et ce retour à la normale provoque une fête à tout casser.
En-dedans de nous, il y a toujours ce cri : « Cela n’a pas grand bon sens, cette largesse pour ce qui est perdu, cette tendresse pour celui qui a méprisé son père! » Nous avons bien besoin de ce rappel, vu les bêtises impardonnables de certains assassins qui entachent les actualités du monde. La réponse aux meurtres absurdes ne doit pas être aussi barbare. Cette réponse doit utiliser l’arme même de Dieu : la miséricorde qui rend possible la réparation et la reconstruction.
La conviction de Jésus surgit d’un récit fondateur du peuple juif. La première lecture nous raconte le premier grand pardon que Dieu accorde à son peuple. Aujourd’hui, après avoir avalé une si forte dose d’évangile, c’est juste et bon de prendre connaissance de cette histoire étonnante du Premier Testament. Il a encore bien des choses à nous apprendre. Dieu aurait eu raison d’être féroce pour son peuple déloyal. Moïse n’a jamais eu le temps de lire au peuple les commandements gravés sur la pierre par Dieu lui-même… Moïse est révolté par la bêtise du peuple. Il détruit les clauses du contrat d’alliance de Dieu. Privé de son allié divin, l’avenir de ce peuple fragile s’annonçait bien sombre. Son geste d’adorer un faux dieu égyptien était une aberration complète. Attribuer à un paquet de métal doré fondu la liberté hors du pays d’esclavage? Quelle courte vue… Pourtant, pourtant, l’amour fidèle de Dieu pour son peuple maintient la ligne de ses promesses aux ancêtres. Quand on s’appelle Dieu, on ne peut pas se renier. Moïse a la présence d’esprit de lui rappeler… et ça marche! Le Seigneur a de la suite dans les idées. Il ne peut pas renoncer à son projet de libération. Le Seigneur donne alors qu’il a déjà tout donné : il par-donne. Le peuple survit grâce au pardon de Dieu. Le pardon de Dieu fait exister son peuple.
Voilà des idées essentielles de notre religion. Jésus les rappelle dans ses paraboles car le pardon de Dieu a toujours fait partie de l’héritage de foi de nos ancêtres. Peu étonnant que Paul, dans la deuxième lecture, se rappelle de sa réalité passée de blasphémateur pardonné, de persécuteur réconcilié, d’insulteur gracié… Peu étonnant, en cette Année jubilaire de la miséricorde, que nous l’imitions, car il nous arrive, à nous aussi, de vouloir laisser Dieu en dehors de nos décisions. Ou de mépriser un frère ou une sœur de notre famille chrétienne. Ou de dire des choses pas très constructives au sujet de nos pasteurs… Prenons-en conscience, et laissons-nous rassembler par notre Dieu, ce bon berger, chercheur acharné de la moindre brebis étourdie ou égarée!
Alain Faucher, prêtre

Pensée de la journée :
Les chercheurs de Dieu se multiplient. Acceptons-nous
que son pardon soit accordé à quiconque veut revenir vers lui?
Alain Faucher, prêtre

Pensée de la semaine :
Plusieurs personnes se rendent compte que Dieu est la source de miséricorde par excellence. Serons-nous jaloux de son accueil, jaloux comme le bon fils aîné de la parabole?
Alain Faucher, prêtre