Feuillet du 18 novembre 2018

Dimanche 18 novembre :Trente-troisième dimanche du temps ordinaire

LAMPE DU SANCTUAIRE  du 18 novembre : Gaby Breton

INTENTIONS DE PRIÈRE

 

NOS DÉFUNTS

 

Dimanche 18 novembre :

9 h : Feu Gérard et Olivette Bouffard – la famille

 

Mercredi 21 novembre :

8 h 30 : Feu Lucille Brochu – parents et amis

 

Dimanche 25 novembre :

9 h : Feu Suzanne Dorval Blais – Albert Blais

 

ÉVÈNEMENTS  À CÉLÉBRER

 

1.Titre du cours : Le Nouveau Testament

 

Description : Cette formation mettra en lumière la richesse et la diversité des livres qui composent le Nouveau Testament. Comment dire aujourd’hui notre foi à la manière de Jésus, Paul et les  premiers chrétiens ?

 

Personne-ressource : Micheline Gagnon, Ph. D. en théologie

Date : Mardi 27 novembre 2018

Heures : 9 h 30 à 15 h 30

Lieu : Missionnaires de Mariannhill

          2075, chemin de Sainte-Catherine, Sherbrooke

Coût : 25 $ (repas inclus)

Inscription avant le jeudi 22 novembre : Sylvie Dubuc, 819 563-9934, poste 408 ou [email protected]

 

  1. GUIGNOLEE

25 novembre : Guignolée placée sous la direction et la supervision des Chevaliers de Colomb de notre paroisse qui ont besoin d’un grand nombre des bénévoles ainsi que des gestes de générosité des résidents de notre communauté municipale pour l’aide des aux personnes en situation de détresse multiple.

 

PAROLES DE DIEU DE CE DIMANCHE

 

1ère lect.: Daniel (12, 1-3 )

 «  En ce temps-là se lèvera Michel, le chef des Anges, celui qui se tient auprès des fils de ton peuple. Car ce sera un temps de détresse. Mais en ce temps-ci, ton peuple sera délivré.  Beaucoup de gens qui dormaient dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle , les autres pour la honte et la déchéance éternelle.»

 

Psaume  :15 (16) : « Garde moi, mon Dieu : j’ai fait de toi mon refuge.»

 

 2e  lect.: Hébreux (10,11-14.18)

 « Jésus-Christ par son unique offrande, il a mené pour toujours à leur perfection ceux qu’il sanctifie.»

 

Évangile : Marc  ( 13, 2 4-32 )

En ce temps-là, Jésus parlait à ses apôtres de sa venue:« En ces jours-là, après une grande détresse, le soleil s’obscurcira et la lune ne donnera plus sa clarté ; les étoiles tomberont du ciel et les puissances célestes seront ébranlées. Alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuées avec grande puissance et avec gloire.»

 

 Le figuier

    Plutôt que de nous bloquer sur l’aspect de fin du monde évoqué dans l’évangile du jour, arrêtons-nous sur l’aspect d’achèvement, d’accomplissement sur lequel Marc attire notre attention et non pas destruction, car Jésus dit clairement qu’on le verra venir sur les nuées du ciel. C’est le moment grandiose et exultant de la moisson. Il n’est pas question de destruction, d’achèvement, mais d’accomplissement.

     La comparaison du figuier introduit la question du quand, du jour et de l’heure de la venue finale. Jésus réagit contre la fébrilité, la fièvre dangereuse de ses contemporains qui attendaient la fin des temps pour bientôt. Il faut surtout s’appuyer sur la parole de Jésus : « Le ciel et la terre  passeront, mes paroles ne passeront pas. Quant au jour et l’heure de la venue finale, nul ne les connaît. »

Ce texte est plein d’espérance. Ceux qui enseignent la crainte, la peur de Dieu n’ont rien compris à l’évangile. Le Jour du Seigneur sera l’heure de la victoire remportée par le Christ qui vient nous sauver, l’heure de l’amour vainqueur pour l’éternité. Lorsque le Fils de l’Homme reviendra dans la gloire, il sera toujours un Dieu plein d’amour, de compassion, de sollicitude. Nous devons aborder la scène du jugement dernier avec une grande joie et avec une sérénité pleine de lumière puisque le Christ est venu sauver le monde. C’est la réponse du Père à notre prière : « Que ton règne vienne… viens Seigneur Jésus ».

Les malheurs arrivent et passent, les puissances de ce monde prennent de la force, puis disparaissent. Tout n’a qu’un temps. Dans toutes les périodes de l’histoire, comme dans toutes les familles, dans tous les gouvernements et dans toutes les vies, il y a quatre saisons. La cinquième saison viendra ! Mais ce n’est pas la fin de l’histoire, dit Jésus.

Il faut savoir garder bien vivante cette espérance qui est en nous! À travers tout ce que nous vivons, le Christ nous offre une vision pleine d’optimisme. « Je suis la résurrection et la vie ». « N’ayez pas peur, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin des temps. »

Il y a des personnes qui semblent destinées à avoir peur toute leur vie, mais pas le chrétien. Le texte d’aujourd’hui est une invitation non à la peur mais à l’espérance. Il se termine avec la belle Parabole du figuier : « Quand ses branches reverdissent et que sortent les feuilles, vous savez que l’été est proche. »

On a vraiment rien compris à la pensée de Jésus quand on se fait « prophète de malheurs ». « Lorsque tout cela arrivera, sachez que le Seigneur est proche, qu’il est à votre porte. » Le christianisme sans cette espérance n’est pas le christianisme. C’est le message d’espérance de notre évangile aujourd’hui.

Yvon Cousineau, c.s.c.

 

Pensée de la journée :

Dieu nous rend souvent visite, mais souvent nous ne sommes pas chez nous.

Ghislaine Salvail

 

Pensée de la semaine :

Le moment présent, c’est le grain de sénevé qui fait germer la vie spirituelle.

Louis-Marie Parent

 

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