Feuillet du 25 février 2018

2e dimanche du Carême :  25 février 2018 ANNÉE (B)

LAMPE DU SANCTUAIRE  du 25 février : Daniel Noël

INTENTIONS DE PRIÈRE

 NOS DÉFUNTS

Dimanche 25 février :

9 h : Feu Françoise Courtemanche Cadorette

Dimanche 4 mars : 3e dimanche du Carême

9 h : Feu Laurette Bernard Rivard – parents et amis

 

EN SEMAINE 

Mercredi 28 février :

18 h 30 : Feu Jeanne-D’Arc Grenier – parents et amis.

 

ÉVÈNEMENT À CÉLÉBRER

4 mars de 9 h à 11 h 30

Brunch des Chevaliers de Colomb

 

ENSEMBLE POUR LA PAIX

 En ce carême 2018, Développement et Paix, organisme de solidarité internationale créé par les évêques catholiques canadiens, nous invite à une réflexion et à un engagement pour la PAIX. Grâce aux dons recueillis pendant le carême, Développement et Paix appuie 170 organismes à travers le monde.

Pour plus d’informations : vous pouvez prendre la documentation disponible aux portes de l’église ou encore communiquer avec Ghislaine Beaulieu, [email protected]. ou au 819 563-9187.

 

PAROLES DE DIEU DE CE JOUR

1ère  lect. Gn 22,1-2.9-13.15-18

Dieu mit Abraham à l’épreuve : «Prends ton fils ton unique fils, celui que tu aimes, Isaac…, et tu l’offriras en holocauste sur la montagne que je t’indiquerai.»  Les préparatifs terminés, obéissant aux consignes reçus du ciel, Abraham étendit la main et saisit le couteau pour immoler son fils.  Mais l’ange du Seigneur l’appela et dit : «Abraham ! Ne porte pas la main sur le garçon !  Ne lui fait aucun mal.  Je sais maintenant que tu crains Dieu.»

Psaume 115(116) «Marcher en présence de Dieu sur la terre des vivants.»

2e lect. : Rm 8,31-34 : «Dieu n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous  tous.  Christ est mort; bien plus  il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, il intercède pour nous.»

Évangile : Mc 9,2-10 : Trois de ses disciples, témoins privilégiés, dans un lieu à l’écart, de la transfiguration de Jésus, confirmé dans son statut de Fils de Dieu.

«Jésus prit  avec lui Pierre, Jacques et Jean et les amena, eux seuls, à l’écart sur une haute montagne.  Et là il fut transfiguré devant eux.»  Et de la nuée, une voix se fit entendre : «Celui-ci est mon fils bien-aimé: écoutez- le.»

Paroisse St-Stanislas

Ascot Corner

 

 

La paroisse St-Stanislas d’Ascot Corner est à la recherche de gens possédant des talents musicaux et/ou d’animation de chants religieux permettant aux paroissiens et paroissiennes d’agrémenter leur cérémonie religieuse.

« Gardons notre église vivante »

Pour toutes informations veuillez communiquer avec :

  • Michel Lessard : 819-563-5349
  • Nicolas Poulin : 819-348-0764

En vous remerciant de l’intérêt porté à cette demande.

Fraternellement vôtre,

Nicolas Poulin

Président de l’assemblée de la Fabrique St-Stanislas

 

Le mystère du fils

J’ai souvent entendu des couples nouvellement parents affirmer qu’ils ont connu la grandeur de l’amour quand ils ont enserré leur nouveau-né dans leurs bras. Un amour encore plus grand que celui qu’ils ont l’un pour l’autre, ce n’est pas peu dire! Quand ils regardent avec tendresse l’enfant né de leur amour, ils vivent une expérience de révélation. Ils touchent à la vérité de l’amour : généreux, gratuit, inconditionnel, oubli et don de soi. Et il arrive souvent que ces jeunes parents découvrent l’amour dont leurs parents les ont aimés.

En parcourant les textes bibliques de la liturgie de ce deuxième dimanche de Carême, qui n’est pas dérouté par l’agir de Dieu. Il met Abraham à l’épreuve : après lui avoir donné un fils pour réaliser la promesse d’une descendance aussi nombreuse que les étoiles du ciel, voilà que Dieu lui demande d’en faire le sacrifice. Sa foi pourra-t-elle survivre? Dans le passage de l’évangile, la scène de la transfiguration laisse paraître le scandale de la mort de Jésus et l’annonce de la résurrection, en mentionnant l’incompréhension des apôtres, qui se retrouvent avec un seul point d’appui : écouter la parole de Jésus, le Fils bien-aimé. Quelques années plus tard, Paul, le converti, confesse que Jésus Christ est le don total de Dieu, dans sa mort comme dans sa résurrection. En Jésus Christ, Dieu nous fait communier à sa propre Vie, à tel point que rien, dans le cours de notre existence ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu.

D’Isaac, le fils de la promesse, à Jésus, fils d’homme et Fils de Dieu, il y a ce mystère de Dieu qui sort de lui-même et qui se donne pour entrer en relation avec l’être humain. Ce don de soi, pour Dieu, prend chair dans son Fils, tout comme le nouveau-né est le visage incarné de la sortie d’eux-mêmes de ses parents. C’est aussi le mystère du Fils qui se reçoit d’un autre, qui accueille sa vie comme un don. Des événements douloureux mettent souvent notre foi à l’épreuve; nous faisons alors l’expérience du silence de Dieu, que nous interprétons comme une absence, voire un abandon, comme ce fut le cas de Jésus sur la croix, ou celui d’Abraham notre père dans la foi.

Si les textes de ce dimanche présentent le mystère du Fils de manière quelque peu déroutante, l’approche de saint Jean se fait plus réconfortante : Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que tout être humain qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie en abondance (Jn 3,16).

Yves Guillemette, ptre

 

Pensée de la journée : :

Si Dieu est pour nous, c’est parce qu’il nous aime, par pure bonté et gratuitement.

 

Pensée de la semaine :

 Dieu nous fait bénéficier des bienfaits de son amour en mettant tout en œuvre

pour faire de nous, en son Fils bien-aimé, ses filles et ses fils adoptifs.

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